Un Belge sur trois ignore les signaux d'une dégradation de sa vue, alors qu’un simple contrôle visuel pourrait éviter bien des désagréments

Malines, le 9 décembre 2025 – Une nouvelle étude commandée par Pearle Opticiens révèle qu’un Belge sur trois a une mauvaise vue, et que seuls 17 % qualifient leur vision de 'très bonne'. Bien que 97 % des répondants considèrent une bonne vision comme importante, les signaux d’une dégradation de la vue passent étonnamment souvent sous le radar. Résultat : de nombreuses personnes passent à côté du confort, de la netteté et de petits moments du quotidien qui influencent leur qualité de vie. Pearle considère ce fossé entre prise de conscience et action comme un défi majeur en Belgique.

L’étude montre que les Belges attribuent en moyenne une note de 6,8 sur 10 à leur vision - et un tiers même une note de 6 ou moins. Des plaintes telles que le besoin de plisser les yeux, les maux de tête, la fatigue ou des épisodes de vision floue sont souvent attribuées au stress ou à l’usage intensif des écrans. Cela explique pourquoi un contrôle visuel – gratuit à l'achat chez Pearle – est parfois trop longtemps reporté.

Un réflexe pour préserver l'image de soi

Malgré cette tendance à remettre à plus tard, la moitié des répondants indiquent que leur vue a changé au cours de l’année écoulée. Et pourtant, ils ne passent pas à l’action. Des mécanismes psychologiques jouent ici un rôle majeur : l’insécurité, l’accoutumance, et la tendance à opter pour une explication plus 'bénigne'. Pearle constate que les personnes ne franchissent souvent le pas qu’au moment où l’inconfort entrave réellement leur quotidien, alors qu’un simple contrôle aurait pu apporter des réponses bien plus tôt.

L'experte en psychologie Marleen Beevers, spécialiste du comportement et de l’identité, l'exprime ainsi : « Lorsqu’il s'agit de nos yeux, nous sommes de brillants négationnistes. Nos émotions ont souvent une longueur d’avance sur notre bon sens. Tant que nous voulons nous percevoir comme jeunes, autonomes et ‘en pleine forme’, nous choisissons spontanément l'explication la plus commode : c’est sans doute le stress ou les écrans. Nous remarquons que nous plissons les yeux, fronçons les sourcils ou avons mal à la tête, mais cette explication nous semble plus rassurante que d'admettre que notre vue change – car cela touche à l'âge, au contrôle et parfois même à la honte. Il semble beaucoup plus facile de dire qu’on est fatigué que de reconnaître qu'on ne voit plus aussi bien. Elle poursuit : « Les psychologues qualifient cela de dissonance cognitive : dès que les faits deviennent inconfortables, nous cherchons une explication plus compatible avec l’image que nous avons de nous-mêmes. C’est ainsi que nous restons parfois pendant des mois dans une zone floue, au propre comme au figuré. »

Quand la clarté revient

Dès que les personnes franchissent le pas et effectuent un contrôle de la vue, l’impact est souvent immédiat. L’étude révèle que 68 % des répondants ressentent une amélioration immédiate, allant du simple soulagement quant à la santé de leurs yeux à une expérience visuelle nettement plus confortable grâce à des lunettes ou des lentilles adaptées. Cette prise de conscience — ce moment où l’on peut à nouveau lire, conduire ou remarquer des détails sans effort — est précisément ce que Pearle souhaite encourager : bien voir ne concerne pas uniquement l’acuité visuelle, mais aussi la tranquillité d’esprit, la sécurité et la qualité de vie au quotidien.

Giulia Rosetti, Marketing and Digital Director chez Pearle Opticiens, déclare à ce sujet : « Beaucoup de personnes restent inconsciemment bloquées dans une phase de déni. Nous les aidons à en sortir avec bienveillance. Le moment où quelqu’un regarde à travers des verres à la bonne correction est souvent vécu comme une petite révélation. On réalise soudain tout ce qu’on a manqué sans s'en rendre compte. C'est pourquoi nous encourageons chacun à accorder la priorité à sa santé oculaire, avant que l'inconfort ne devienne la nouvelle norme. Un monde nouveau s’ouvrira alors, au propre comme au figuré. 

Pourquoi l’attention portée à la qualité de la vision est aujourd'hui plus importante que jamais

L’étude montre clairement que bien voir a un impact direct sur la manière dont les personnes vivent leur journée : avec plus de sérénité, de confiance en soi et de confort. Comme l’inconfort devient facilement la norme, de nombreux Belges restent plus longtemps que nécessaire dans une situation où lire, travailler, conduire ou distinguer les détails leur demande un effort. Un contrôle visuel constitue souvent la première étape vers une amélioration visible et tangible.

Pearle souhaite lever ce frein en proposant, dans chaque magasin, des contrôles de la vue et un accompagnement accessibles, associés à des solutions sur mesure comme des lunettes, des lentilles et des formules axées sur le confort et l’accessibilité. L'objectif est simple : aider les personnes non seulement à mieux voir, mais surtout à mieux vivre.

Celles et ceux qui se demandent ce qu’un contrôle de la vue peut apporter à leur confort au quotidien sont les bienvenus dans un magasin Pearle. Des lunettes et lentilles à Lunettes Sans Soucis et à l’Abonnement lentilles, Pearle propose des contrôles de la vue accessibles, des conseils personnalisés et des solutions adaptées. Parfois, un quotidien plus serein commence par un petit geste.

Plus d’informations : https://www.pearle.be.

Note à l’attention de la rédaction

À propos de l'étude

Ce communiqué de presse est basé sur une étude réalisée par Indiville pour Pearle Opticiens. L'enquête en ligne a été menée auprès de 1158 Belges adultes et les résultats sont représentatifs en termes de genre, d’âge et de région.

Vous souhaitez consulter l'étude complète ? N’hésitez pas à en faire la demande via gaya@mmbsy.com

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